Au rez-de-chaussée vous trouvez la réception, là, votre admission sera créé et la réceptionniste vous indiquera le chemin que vous devez prendre. A ce niveau vous trouvez également la cafétéria.
Au rez-de-chaussée vous trouvez la réception, là, votre admission sera créé et la réceptionniste vous indiquera le chemin que vous devez prendre. A ce niveau vous trouvez également la cafétéria.
Si durant les premières semaines de grossesse tous les foetus grandissent de la même façon, bien vite chacun développe sa propre courbe de croissance.
L’important est que le bébé grandisse de façon continuelle et harmonieuse tout au long de la grossesse tout en restant à l’intérieur de seuils fixés. Le retard de croissance intra-utérin correspond à une croissance insuffisante du foetus par rapport aux courbes de référence. Il est difficile de diagnostiquer un retard de croissance de l’extérieur et il y a peu de corrélation entre la taille du ventre de la maman et la taille réelle du bébé. C’est l’échographie qui permet donc d’évaluer une estimation du poids de l’enfant.
Une fois de retour à la maison, une attitude semblable à celle de votre hospitalisation doit être envisagée. Nous vous conseillons de vous réserver des moments dans la journée dédiées au repos, mais il va falloir bouger aussi pour favoriser le flux d'oxygène par le placenta vers le foetus, ceci est aussi un traitement du RCIU. Privilégiez la position allongée latérale gauche qui favorise la circulation placentaire.
Des activités légères sont permises, aussi à l’extérieur, par contre les longs voyages en voiture sont déconseillés et seront à discuter avec votre gynécologue en cas de réelle nécessité.
Le stress diminue la perfusion placentaire. Avant de rentrer à la maison, il faut avoir géré tous les soucis organisationnels (garde des autres enfants, arrêt ou aménagement du travail, tâches ménagères, organisation structurelle de la maison,…). Selon vos besoins, nous pouvons faire appel au service social, qui peut revoir avec vous, vos droits et aides auxquels vous pouvez prétendre.
Une alimentation fraîche, saine et équilibrée est fortement recommandée.
Le traitement se fait en fonction des prescriptions de votre médecin. Il faudra veiller avant votre départ à vous fournir les médicaments nécessaires. Le personnel médico-soignant vous expliquera comment et quand les prendre ainsi que la surveillance nécessaire à chaque médicament.
Le bien-être de votre bébé est surveillé régulièrement par votre médecin. Mais c’est vous qui connaissez le mieux votre bébé et votre avis compte. Rendez-vous à l’hôpital :
Si vous devez vous rendre à l'hôpital et que votre mari n'est pas présent, faites appel à un membre de votre famille, un ami, un voisin et si cela n'est pas possible et que votre état le permet, vous pouvez faire appel à un taxi. Evitez les transports en commun. Si c'est urgent, faites appel à l'ambulance.
Afin de respecter le repos préconisé, n'hésitez pas à vous faire aider dans votre cercle familial ou amical si cela est possible.
Si vous avez des questions, vous pouvez contacter votre gynécologue, votre sage-femme libérale ou bien encore la Maternité.
La pré-éclampsie ou toxémie gravidique est une maladie caractérisée par l'association d'une hypertension artérielle (HTA) >15/10 cm Hg, d'une protéinurie, d'une prise de poids avec oedèmes. Elle est plus fréquente en cas de grossesse gémellaire et de première grossesse.
L'éclampsie ou hellp syndrome fait suite à la prééclampsie. C'est une crise convulsive typique survenant au 3ème trimestre de la grossesse, au cours du travail, ou après l'accouchement, et associée à une hypertension artérielle. Les vies de la mère et du foetus sont en danger.
Une fois votre retour à domicile, une attitude semblable à celle de votre hospitalisation doit être envisagée.
Vous connaissez l’état irréversible de votre pathologie et la limite de la normalité des signes cliniques. Vous devez surveiller votre poids, l'apparition d'oedèmes, de céphalées, d'acouphènes (bourdonnement d’oreilles), de phosphènes (mouches devant les yeux) et d'une barre épigastrique.
Dans certains cas, votre médecin vous prescrit une surveillance tensionnelle à la maison. Pour plus d'informations, référez-vous à l'équipe médico-soignante.
Nous vous conseillons de vous réserver des moments précis dans la journée dédiés au repos.
Les positions de repos adaptées doivent éviter un étirement ligamentaire de la région abdominale. Privilégiez le décubitus latéral gauche, la position en chien de fusil, arrondissez et soutenez votre dos. Pour la position semi-assise à 35°, surélevez légèrement votre bassin pour éviter la pression sur le col. Favorisez l’utilisation de coussins sous les genoux et surélevez vos membres inférieurs afin de diminuer l'apparition des oedèmes. Il est fortement déconseillé de faire de long voyage en voiture et de porter des charges lourdes. Il est important d'avoir une bonne hygiène intime, minimum une fois par jour. Préférez les savons sans parfum et à pH neutre. Nous vous demandons également de surveiller vos pertes vaginales. Celles-ci peuvent augmenter et devenir plus liquide en fin de grossesse. Si vous observez des pertes sanglantes, elles peuvent être le témoin d'une modification cervicale. Des pertes mal odorantes peuvent faire suspecter une infection. S'il s'agit de pertes de liquide (claires, jaunes, vertes), cela peut être du liquide amniotique. Quoi qu'il en soit, vous devez prévenir le gynécologue ou la sage-femme. Le stress peut induire de l'hypertension. Avant de rentrer à la maison, il faut avoir géré tous les soucis organisationnels (garde des autres enfants, arrêt ou aménagement de travail, tâches ménagères, organisation structurelle de la maison...) Selon les besoins, nous pouvons faire appel au service d’assistance sociale qui peut revoir avec vous les droits et aides auxquels vous pouvez prétendre.
Toutes patientes alitées développent, dans les jours qui suivent leur hospitalisation, une gène intestinale, des crampes, voire des douleurs abdominales liées à la constipation. Pour prévenir cela, il faut s'hydrater. De plus, l'apport hydrique contribue à la prévention des infections urinaires. En fonction de votre situation, certains apports alimentaires peuvent aussi vous aider (eau riche en magnésium, pruneaux, manger riche en fibres, cuillère d'huile, suppositoire de glycérine,...) En cas de toxémie, on pourra peut être vous demander de manger un régime pauvre en sel.
La sexualité peut être envisagée sauf contre-indication médicale.
Le traitement se fait en fonction des prescriptions de votre médecin. Il faudra veiller avant votre départ à vous fournir tous les médicaments nécessaires. Le personnel médico-soignant vous expliquera comment et quand les prendre et la surveillance nécessaire à chaque médicament.
Pour la toxémie les motifs de consultation en urgence sont :
En dehors de la toxémie, vous devez également consulter pour les motifs suivants :
Si vous devez vous rendre à l'hôpital et que votre mari n'est pas présent, faites appel à un membre de votre famille, un ami, un voisin et si cela n'est pas possible et que votre état le permet, vous pouvez faire appel à un taxi. Evitez les transports en commun. Si c'est urgent, faites appel à l'ambulance.
Si vous avez des questions, vous pouvez contacter votre gynécologue, votre sagefemme libérale ou bien encore la Maternité.
La cholestase gravidique est, comme son nom l'indique, une maladie du foie transitoire qui se déclenche chez la femme enceinte. La cholestase est une maladie dans laquelle les hépatocytes (=les cellules spécialisées du foie), laissent passer les acides biliaires dans le sang plutôt que dans la bile. En général, la cholestase gravidique se déclenche au troisième trimestre de la grossesse. Les symptômes sont en général des démangeaisons intenses sur les mains, les pieds augmentant le soir et la nuit. Elle ne doit pas être prise à la légère, car elle peut être très nocive pour le foetus.
Il est important d'éviter tout stress ou cause d'anxiété. Écoutez votre corps et reposez-vous lorsque vous en avez besoin. Une alimentation fraîche, saine et équilibrée
est recommandée.
Le repos fait partie intégrante de votre traitement, faites attention au surmenage. Ne reprenez pas immédiatement toutes vos activités quotidiennes. Faites vous aider à la maison, si cela est possible.
Le traitement se fait en fonction des prescriptions de votre médecin. Il faudra veiller avant votre départ à vous fournir tous les médicaments nécessaires. Nous vous donnerons avant votre sortie une ordonnance médicale. Le personnel médico-soignant vous expliquera comment et quand prendre vos médicaments ainsi que la surveillance nécessaire lors de la prise de ces derniers. De l'acide ursodésoxycholique peut être prescrit, car il diminue les démangeaisons et le taux d'acides biliaires.
Compte tenu des risques encourus par le foetus, les femmes enceintes touchées par la maladie doivent être surveillées de près. Des tests sanguins sont réalisés régulièrement pour évaluer la concentration en acides biliaires dans le sang. L'état de santé du bébé est également analysé grâce à des monitorings réguliers, qui permettent de connaître son rythme cardiaque et de détecter un état de stress foetal.
Pour éviter les complications maternelles et foetales, les médecins pourront envisager un déclenchement du travail avant le terme prévu.
Un suivi plus régulier sera réalisé (consultation avec votre gynécologue, contrôle cardiotocogramme (CTG), échographies, bilans sanguins...).
N'hésitez pas à consulter votre gynécologue ou venir à la maternité :
En dehors de la cholestase gravidique, durant une grossesse, vous devez également consulter pour les motifs suivants :
Si vous devez vous rendre à l'hôpital et que personne de votre entourage ne peut être présent, faites appel à un membre de votre famille, un ami, un voisin et si cela n'est pas possible et que votre état le permet, vous pouvez faire appel à un taxi. Evitez les transports en commun. Si c'est urgent, faites appel à l'ambulance.
Afin de respecter le repos préconisé, n'hésitez pas à vous faire aider dans votre cercle familial ou amical si cela est possible.
Si vous avez des questions, vous pouvez contacter votre gynécologue, votre sage-femme libérale ou bien encore la Maternité.
Réf. : Flyer Cholestase gravidique Mars 2025
Les parents d’enfants scolarisés dans les écoles primaires de la Ville de Luxembourg ont reçu/vont recevoir prochainement des documents de présentation de cette étude pilote et un formulaire de consentement, afin que leurs enfants puissent déjà participer à ce dépistage de l’hypercholestérolémie familiale d'ici jusqu'à la fin de l'année scolaire 2022/2023.
L’étude pilote sur l’hypercholestérolémie familiale est financée par la Fondation Cœur-Daniel Wagner et soutenue par la Direction de la Santé, le Service de Médecine Scolaire de la Ville de Luxembourg, le Cercle des médecins généralistes, la Société Luxembourgeoise de Cardiologie, la Société Luxembourgeoise de Neurologie et la Société Luxembourgeoise de Pédiatrie.
L’hypercholestérolémie familiale est une maladie génétique qui se caractérise par un taux trop élevé de cholestérol dans le sang. Si elle n’est pas traitée suffisamment tôt, cette maladie insidieuse augmente fortement le risque de développer des maladies cardiovasculaires (crise cardiaque, accident vasculaire cérébral) à l’âge adulte jeune.
Souvent méconnue, l’hypercholestérolémie familiale ne doit pas être confondue avec l’hypercholestérolémie qui apparait plus tard, vers l’âge de 45-50 ans, et qui est beaucoup plus fréquente au sein de la population. Dr Carine De Beaufort précise : « l’hypercholestérolémie familiale est une maladie héréditaire (les enfants d’une personne atteinte de HF ont un risque de 50% d’être atteints) qui touche 1 personne sur 250. Aujourd’hui, 9 patients sur 10 ne savent pas qu’ils sont atteints d’hypercholestérolémie familiale. »
Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Luxembourg. Dr Marianne Becker revient sur l’intérêt de mener cette étude pilote pour prévenir ces maladies dont l’hypercholestérolémie est un facteur de risque majeur : « Il est essentiel que l’hypercholestérolémie familiale soit dépistée chez les enfants jeunes (avant la puberté), au moyen de quelques gouttelettes de sang, ceci afin d’instaurer rapidement un traitement médicamenteux permettant de réduire le taux de cholestérol dans le sang. Il sera dès lors possible de prévenir les anomalies vasculaires et d’agir favorablement sur l’espérance de vie de ces enfants atteints de cette maladie génétique. Identifier ces enfants, c’est aussi dépister par la même occasion leurs parents qui sont encore jeunes et chez qui on espère pouvoir prévenir l’apparition d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral à un jeune âge (souvent avant l’âge de 40 ans). »
« Nous espérons que cette étude pilote mènera également à des réflexions sur la nécessité d’implémenter un dépistage national de l’hypercholestérolémie familiale au Luxembourg. Aujourd’hui, seules la Slovaquie et la Slovénie ont mis en place un tel dispositif de dépistage dans leur pays respectif. », ajoute Dr De Beaufort.
En collaboration avec la médecine scolaire de la Ville de Luxembourg, le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale est offert le même jour que l’examen médical scolaire, et est effectué par une infirmière de recherche clinique du DECCP (endocrinologie et diabétologie pédiatrique au CHL). Pour inclure les enfants à ce dépistage, il est important que le formulaire de consentement soit signé par les deux parents, ou par un seul parent si ce parent a la garde unique (à indiquer sur le formulaire).
Dr Marianne Becker : « Les enfants seront soumis au prélèvement d’un échantillon de sang (quelques gouttes) par piqûre au doigt. Ce prélèvement sanguin sert à faire un dosage du cholestérol total et du cholestérol LDL (mauvais cholestérol). Les enfants seront invités à réaliser un RDV dans notre service lorsque leur taux de cholestérol LDL est trop élevé. Lors de ce RDV, nous allons offrir un test génétique à la famille, une mesure de l’IMT (intima media thickness, c’est une échographie des artères de cou) et – le plus important - un screening en cascade chez les autres membres de la famille (bilan lipidique chez les parents, frères et sœurs). Une fois le diagnostic d’hypercholestérolémie confirmé, les enfants seront pris en charge médicalement. »
Les prélèvements capillaires prendront fin à l’été 2023, sous réserve de l’évolution de la pandémie. S’en suivra ensuite une analyse des données qui permettra de recueillir des résultats statistiques.
ou bien
T. +352 4411 3173
Les parents d’enfants scolarisés dans les écoles primaires de la Ville de Luxembourg ont reçu/vont recevoir prochainement des documents de présentation de cette étude pilote et un formulaire de consentement, afin que leurs enfants puissent déjà participer à ce dépistage de l’hypercholestérolémie familiale d'ici jusqu'à la fin de l'année scolaire 2022/2023.
L’étude pilote sur l’hypercholestérolémie familiale est financée par la Fondation Cœur-Daniel Wagner et soutenue par la Direction de la Santé, le Service de Médecine Scolaire de la Ville de Luxembourg, le Cercle des médecins généralistes, la Société Luxembourgeoise de Cardiologie, la Société Luxembourgeoise de Neurologie et la Société Luxembourgeoise de Pédiatrie.
L’hypercholestérolémie familiale est une maladie génétique qui se caractérise par un taux trop élevé de cholestérol dans le sang. Si elle n’est pas traitée suffisamment tôt, cette maladie insidieuse augmente fortement le risque de développer des maladies cardiovasculaires (crise cardiaque, accident vasculaire cérébral) à l’âge adulte jeune.
Souvent méconnue, l’hypercholestérolémie familiale ne doit pas être confondue avec l’hypercholestérolémie qui apparait plus tard, vers l’âge de 45-50 ans, et qui est beaucoup plus fréquente au sein de la population. Dr Carine De Beaufort précise : « l’hypercholestérolémie familiale est une maladie héréditaire (les enfants d’une personne atteinte de HF ont un risque de 50% d’être atteints) qui touche 1 personne sur 250. Aujourd’hui, 9 patients sur 10 ne savent pas qu’ils sont atteints d’hypercholestérolémie familiale. »
Les maladies cardiovasculaires sont la principale cause de décès au Luxembourg. Dr Marianne Becker revient sur l’intérêt de mener cette étude pilote pour prévenir ces maladies dont l’hypercholestérolémie est un facteur de risque majeur : « Il est essentiel que l’hypercholestérolémie familiale soit dépistée chez les enfants jeunes (avant la puberté), au moyen de quelques gouttelettes de sang, ceci afin d’instaurer rapidement un traitement médicamenteux permettant de réduire le taux de cholestérol dans le sang. Il sera dès lors possible de prévenir les anomalies vasculaires et d’agir favorablement sur l’espérance de vie de ces enfants atteints de cette maladie génétique. Identifier ces enfants, c’est aussi dépister par la même occasion leurs parents qui sont encore jeunes et chez qui on espère pouvoir prévenir l’apparition d’une crise cardiaque ou d’un accident vasculaire cérébral à un jeune âge (souvent avant l’âge de 40 ans). »
« Nous espérons que cette étude pilote mènera également à des réflexions sur la nécessité d’implémenter un dépistage national de l’hypercholestérolémie familiale au Luxembourg. Aujourd’hui, seules la Slovaquie et la Slovénie ont mis en place un tel dispositif de dépistage dans leur pays respectif. », ajoute Dr De Beaufort.
En collaboration avec la médecine scolaire de la Ville de Luxembourg, le dépistage de l’hypercholestérolémie familiale est offert le même jour que l’examen médical scolaire, et est effectué par une infirmière de recherche clinique du DECCP (endocrinologie et diabétologie pédiatrique au CHL). Pour inclure les enfants à ce dépistage, il est important que le formulaire de consentement soit signé par les deux parents, ou par un seul parent si ce parent a la garde unique (à indiquer sur le formulaire).
Dr Marianne Becker : « Les enfants seront soumis au prélèvement d’un échantillon de sang (quelques gouttes) par piqûre au doigt. Ce prélèvement sanguin sert à faire un dosage du cholestérol total et du cholestérol LDL (mauvais cholestérol). Les enfants seront invités à réaliser un RDV dans notre service lorsque leur taux de cholestérol LDL est trop élevé. Lors de ce RDV, nous allons offrir un test génétique à la famille, une mesure de l’IMT (intima media thickness, c’est une échographie des artères de cou) et – le plus important - un screening en cascade chez les autres membres de la famille (bilan lipidique chez les parents, frères et sœurs). Une fois le diagnostic d’hypercholestérolémie confirmé, les enfants seront pris en charge médicalement. »
Les prélèvements capillaires prendront fin à l’été 2023, sous réserve de l’évolution de la pandémie. S’en suivra ensuite une analyse des données qui permettra de recueillir des résultats statistiques.
ou bien
T. +352 4411 3173
Le but est d’induire une tolérance du corps à un allergène.
Donner sous la langue l’allergène (pollens ou acariens) responsable des symptômes jusqu’à ce que le corps s’habitue et l’accepte.
On force le système immunitaire à tolérer les allergènes auxquels il réagit habituellement avec une allergie.
C’est le seul traitement capable d’agir sur la cause de l’allergie et de la diminuer.
Localisation : sous la langue.
Technique : laisser fondre, sans avaler la salive pendant 2 minutes jusqu’à dissolution complète. Privilégier le passage sous langue (et non pas digestif).
Oralair et Grazax : environ de décembre / janvier à juillet, à renouveler pendant 3 à 5 ans.
Itulazax : environ de octobre / novembre à fin avril, à renouveler pendant 3 à 5 ans.
Acarizax et Orylmyte : toute l’année non-stop.
Traitement à poursuivre pendant trois à cinq ans.
a. Général
À jeun, le matin de préférence mais possible à n’importe quelle heure de la journée. À prendre en dehors des repas (minimum 2h après repas).
Après la prise, possibilité de manger dans les 10 minutes.
b. Que faire en cas d’oubli ?
*Si oubli le matin : prendre le comprimé dans la journée en dehors des repas, reprendre le suivant normalement le lendemain matin.
*Si oubli > 24h : ne pas prendre 2 comprimés en même temps, poursuivre le traitement.
*Si oubli de plus de 7 j : risque de perte de tolérance et de réaction comme avec la prise initiale.
*Interruption : limiter au maximum l’interruption du traitement (risque de perte de tolérance). Sauf :
*Surdosage (prise de plusieurs comprimés) : prendre un antihistaminique et appeler médecin si réaction sévère.
*Grossesse : ne pas initier la 1ère année.
Si désensibilisation débutée avant la grossesse : poursuivre le traitement sans contre-indication au cours de la grossesse et de l’allaitement.
Étant donné que le comprimé est un allergène auquel vous êtes allergique : risque de faire une réaction allergique locale :
Réaction légère : prise d’antihistaminique.
L’antihistaminique permet de réduire les effets indésirables mais n’empêche pas le traitement d’agir.
Ne pas hésiter à le prendre en cas d’effet indésirable ou en cas de symptômes allergiques.
Efficace dès la 1ère année mais de manière progressive.Poursuivre le traitement symptomatique de la rhinite et de l’asthme (antihistaminique, spray, collyre, inhalateur ...) en plus de la désensibilisation. Gestion du traitement à voir avec le médecin.
Pas d’interaction médicamenteuse avec d’autres médicaments.

Calendrier des RDV à convenir avec le médecin. Rendezvous médicaux :
Ne pas hésiter à reprendre rendez-vous dans l’intervallesi besoin !
SI VOUS SOUHAITEZ ANNULER LA CONSULTATION, merci de prévenir minimum 48h à l’avance par téléphone ou par mail.
Vous venez en consultation dans le service d’immunologie-allergologie dans le but de définir si vous avez une maladie allergique ou une autre affection du système immunitaire.
La consultation se divise en deux temps :
Si je ne suis jamais venu(e) au CHL :
Si je suis déjà venu(e) au CHL :
Le service d’immunologie-allergologie est situé au sous-sol (-1) du CHL.
S’annoncer au secrétariat du service.
1. La prise en charge infirmière
La prise en charge infirmière : des tests cutanés appelés Prick Test et une prise de sang seront réalisés.
Ces examens permettent de définir vos affections allergiques ou immunologiques.

Le Prick Test est un examen simple et sécurisé consistant à déposer une goutte d’un extrait d’allergène sur la peau de l’avant-bras ou du haut du dos, suivi d’une petite effraction de la peau par une aiguille à travers la goutte.
La réaction attendue à l’endroit où l’allergène a été posé correspond à une rougeur, un chatouillement, un gonflement comme une piqure de moustique si le test est positif.
Ne pas gratter les zones de test.
Les démangeaisons, la rougeur et le gonflement local disparaissent rapidement endéans l'heure.
2. La consultation médicale
La consultation médicale se fera dans le bureau médical afin de reprendre et d’analyser l’histoire de vos symptômes (il s’agit de l’enquête allergologique), d’interpréter les résultats de vos tests, de préciser les analyses biologiques et complémentaires et de discuter les traitements adéquats.

Les tests allergiques ne sont pas des examens pratiqués en urgence. Certaines réactions (notamment médicamenteuses ou au venin) nécessitent un délai de 4-6 semaines après leur résolution pour que les tests soient fiables.
Notez bien le déroulement de vos symptômes pour ne pas oublier le jour de la consultation.
SI VOUS SOUHAITEZ ANNULER LA CONSULTATION, merci de prévenir minimum 48h à l’avance par téléphone ou par mail.
Au Luxembourg, environ 4 AVC surviennent par jour. Si l’AVC est une maladie grave, il est d’autant plus important de savoir le reconnaître et d’agir rapidement et de façon adaptée.
A l'occasion de la journée mondiale de l'AVC de ce vendredi 29 octobre, l’équipe pluridisciplinaire de la Neurologie du CHL, en co-animation avec Blëtz asbl, a organisé une journée de sensibilisation autour des sujets suivants:
Lors de cette journée, les médecins neurologues du CHL ont également réalisé des échographies des vaisseaux du cou.
Le CHL a également été illuminé en mauve, couleur symbole de la prévention des AVC.





































Le docteur Sarah Viennet est médecin specialiste en Psychiatrie.