Il a effectué sa formation médicale de base à la Pitié-Salpêtrière (faculté de médecine de l'Université Pierre et Marie Curie, Paris VI).
Ceci a été suivi d'une spécialisation en Biologie Clinique à l'Université Libre de Bruxelles.
Ses intérêts particuliers sont les aspects biologiques des maladies infectieuses c.-à-d. la bactériologie, la sérologie infectieuse et la biologie moléculaire infectieuse.
Travaillant dans le laboratoire du CHL depuis 2018 dans le cadre de sa spécialisation, il est maintenant médecin biologiste plein temps en microbiologie.
Cette année, le CHL participe à l'action *LIGHT IT UP", action initiée à l'occasion de la Journée des Maladies Rares (Rare Disease Day) de ce dimanche 28 février 2021.
Elle vise à mettre la lumière sur les maladies rares et leur impact sur la vie des personnes concernées, dont approximativement 30.000 personnes au Luxembourg, notamment par l'éclairage dans les couleurs du Rare Disease Day (bleu, rose, vert, violet) de bâtiments publics importants pendant cette dernière semaine de février 2021.
L’illumination des bâtiments est accompagnée d’une campagne intensive sur les réseaux sociaux, menée par l’a.s.b.l. ALAN - Maladies Rares Luxembourg: https://alan.lu/
Mme Zijada HALILOVIC a fait ses études de pharmacie à l'Université Libre de Bruxelles (ULB) de 2011 à 2017.
Elle a exercé dans diverses officines de ville à Esch-sur-Alzette et à Belvaux de 2017 à 2020.
En 2020, elle a rejoint l'équipe de la Pharmacie du Centre Hospitalier de Luxembourg en tant que pharmacien de rétrocession où elle s'est occupée en binôme de la dispensation de médicaments à statut particulier aux patients ambulatoires.
Depuis 2021, elle est secrétaire de l'Association des Pharmaciens Hospitaliers de Luxembourg (APHL).
Depuis 2023, elle est responsable du dépôt de médicaments de la prison fermée de Schrassig (CPL).
L’oesophage est un tube de muscles qui réalise des pressions pour faire avancer les liquides et les aliments jusqu’à l’estomac. La manométrie oesophagienne permet d’obtenir des informations sur le fonctionnement des contractions de l’oesophage.
Cet examen permet d’enregistrer la pression à l’intérieur des différentes parties de l’oesophage et des sphincters oesophagiens supérieur et inférieur afin de déterminer des troubles du fonctionnement de l’oesophage.
Ces troubles de l’oesophage peuvent être dûs à :
L’achalasie, une maladie qui ralentit ou bloque le passage des aliments.
Des spasmes.
Une mauvaise contraction de l’oesophage.
Le médecin peut être amené ce test en cas de :
Un reflux gastro-oesophagien.
Des douleurs thoraciques après avoir exclu une origine cardiaque.
Des difficultés à avaler les aliments, une impression d’aliments bloqués.
COMMENT DOIS-JE ME PRÉPARER POUR UNE MANOMÉTRIE OESOPHAGIENNE ?
Vous ne devez plus rien manger quatre heures avant l’examen.
Vous pouvez boire jusqu’à 2 heures avant l’examen mais UNIQUEMENT DE L’EAU.
COMMENT SE DÉROULE LA MANOMÉTRIE OESOPHAGIENNE ?
Le test dure environ 30 minutes. Il consiste à l’introduction d’une sonde fine et souple par le nez jusqu’à l’estomac.
L’infirmière qui vous prend en charge prendra le temps de vous expliquer et répondra à toutes vos questions.
Vous serez assis lors de l’introduction de la sonde qui fait 2-3 mm de diamètre. Ce moment peut être un peu désagréable.
Quand le tube est en place dans l’estomac, le test commence. Vous serez alors couché sur le dos. L’enregistrement de la pression s’effectue à différents niveaux de l’oesophage, au repos et lors de la déglutition de la salive ou d’eau.
QUELS SONT LES RISQUES LIÉS À LA MANOMÉTRIE OESOPHAGIENNE ?
Après l’examen, certaines personnes peuvent ressentir une irritation modérée du nez et/ou de la gorge. Cette sensation s’estompe après quelques heures.
Dans de rares cas, l’irritation du nez peut provoquer un léger saignement.
COMMENT DOIS-JE ME COMPORTER APRÈS L’EXAMEN ?
Après l’examen, vous pouvez manger et boire comme habituellement.
Vous pouvez reprendre vos activités quotidiennes habituelles et rentrer à votre domicile ou aller travailler.
Le médecin fournira les résultats au médecin qui a prescrit le test.
VOUS AVEZ DES QUESTIONS ?
Quels que soient les problèmes rencontrés avant ou après l’examen, vous devez en parler à votre médecin qui reste à votre disposition pour répondre à vos questions et vous donner les précisions nécessaires.
Vous pouvez nous contacter pour toutes questions relatives à cet examen au : +352 4411-6475 de 14h00 à 16h00.
Un soignant du service sera à votre disposition.
> Si vous souhaitez rencontrer le médecin gastro-entérologue en consultation avant l'examen, merci de prévenir le secrétariat du service.
L’estomac secrète un liquide gastrique acide. Ce liquide provoque des symptômes désagréables lorsqu’il remonte dans l’oesophage.
La pH-métrie oesophagienne consiste en une mesure continue et un enregistrement continu du pH du bas de l’oesophage afin de diagnostiquer un reflux gastro-oesophagien. Cet examen permet également de mesurer les reflux non-acide (la bile par exemple).
La pH-métrie est un examen très fiable qui permet de diagnostiquer un reflux gastro-oesophagien (RGO) dans 90 à 100% des cas.
COMMENT DOIS-JE ME PRÉPARER POUR UNE PH-MÉTRIE OESOPHAGIENNE ?
Vous devez OBLIGATOIREMENT arrêter les médicaments bloquant la sécrétion acide de l’estomac 7 jours avant l’examen.
Vous devez être à jeun (pas de boissons, pas d’alimentation, pas de tabac) depuis au moins 3 heures.
COMMENT SE DÉROULE LA PH-MÉTRIE OESOPHAGIENNE ?
L'enregistrement dure 24 heures.
La pH-métrie consiste en une petite sonde munie d’une électrode qui est introduite par une narine. La sonde est placée dans l’oesophage au-dessus du sphincter oesophagien inférieur. Cette sonde permet de mesurer le pH de l’oesophage en continu.
Pour sa mise en place, vous serez assis. L’infirmier introduira la sonde dans une narine et vous fera avaler un peu d’eau afin de faciliter sa progression. Lorsque la sonde est en place, elle est fixée sur le nez et sur la joue.
La deuxième extrémité de la sonde est reliée à un boitier externe installé dans une petite sacoche. Vous pourrez ainsi bouger normalement durant toute la durée de l’enregistrement et rentrer à domicile.
QUELS SONT LES RISQUES LIÉS À LA PH-MÉTRIE OESOPHAGIENNE ?
Après l’examen, certaines personnes peuvent ressentir une irritation modérée du nez et/ou de la gorge. Cette sensation s’estompe après quelques heures.
Dans de rares cas, l’irritation du nez peut provoquer un léger saignement.
COMMENT DOIS-JE ME COMPORTER APRÈS L’EXAMEN ?
Après l’examen, vous reprendrez vos activités et votre alimentation habituelle.
Votre participation est indispensable, vous noterez durant la journée les événements spécifiques (douleurs, heure de début et fin de repas, heure du coucher).
Le médecin fournira les résultats au médecin qui a prescrit le test.
VOUS AVEZ DES QUESTIONS ?
Quels que soient les problèmes rencontrés avant ou après l’examen, vous devez en parler à votre médecin qui reste à votre disposition pour répondre à vos questions et vous donner les précisions nécessaires.
Vous pouvez nous contacter pour toutes questions relatives à cet examen au : +352 4411-6475 de 14h00 à 16h00.
Un soignant du service sera à votre disposition.
> Si vous souhaitez rencontrer le médecin gastro-entérologue en consultation avant l'examen, merci de prévenir le secrétariat du service.
Maladies Infectieuses : "Prise en charge des patients post-COVID-19" - Dr Staub
Pneumologie : "Docteur, je reste essouflé après le COVID-19; est- ce que c’est grave? Complications respiratoires post-COVID-19" - Dr Wirtz
Cardiologie : "Troponine, facteur pronostic des patients COVID-19 & la spécificité du risque thrombo-embolique et EP et sa prévention" - Dr Philippe & Dr Sow
Vasculaire : "Suivi des pathologies vasculaires post-COVID-19" - Dr Pillet & Dr Gentile
Endocrinologie : "Diabètes et COVID-19 : l’essentiel" - Dr Atlan
ORL : "Perte de l’Odorat et du Goût par COVID-19" - Dr Panosetti& Dr Waldbillig
Neurologie : "Troubles neurologiques du patient post-COVID-19" - Dr Kolber
Psychiatrie : "Impact du COVID-19 sur la santé mentale" - Dr Pieretti & Dr Piraux
Radiologie : "Apport de l’évaluation des séquelles pulmonaires post-COVID-19 en CT double energie et SPECT- CT. Quantification en aigu et au cours du suivi à moyen long terme". - Drs NChimi, Paulus, Jonard, Schaeffer, Lens
Médecine du Sport : "Reprise du sport après COVID-19" - Dr Urhausen
Mme Caroline PEELMAN a fait ses études de pharmacie à l’Université d’Anvers en Belgique de 2012 à 2017. Ensuite, elle a été sélectionnée pour la spécialisation interuniversitaire en Pharmacie Hospitalière (KUL, UA, VUB, UGent) et diplômée en septembre 2020. Durant ses trois années de spécialisation, elle a travaillé au sein du Réseau des Hopitaux d’Anvers (ZNA) sur le site de Middelheim. Sa formation a été complétée par un stage réalisé à Jesse Brown VA Medical Center, Chicago (USA).
Depuis octobre 2020, elle a rejoint la Pharmacie du Centre Hospitalier de Luxembourg en tant que pharmacienne sur le secteur médicaments. Elle est secrétaire du Comité Médico-Pharmaceutique (CMP) et responsable de la gestion du Formulaire Thérapeutique de l’hôpital et de la Pharmacovigilance.
Pharmacien Gérant Adjoint - pour le secteur Logistique (médicaments et dispositifs médicaux)
Mme Laury PHELIX a fait ses études de pharmacie à l’Université de Pharmacie de Nancy jusqu’en 2010.
Après son doctorat en pharmacie obtenu, elle a ensuite enrichi sa formation par notamment une licence professionnelle en gestion du risque infectieux associé aux soins et un D.U. sur l’antibiothérapie en milieu hospitalier.
De 2010 à 2019, elle a d’abord exercé en France comme pharmacien hospitalier et comme praticien hygiéniste responsable de l’équipe opérationnelle d’hygiène hospitalière au Centre Hospitalier de Mont-Saint Martin.
Elle a rejoint le Centre Hospitalier de Luxembourg en décembre 2019 en tant que pharmacien pour la dispensation aux patients ambulatoires.
Depuis, octobre 2020, elle est pharmacien sur le secteur Médicaments. Elle est notamment responsable des armoires dites sécurisées et des gaz médicaux et elle secrétaire de la Commission des Anti-infectieux (CAI).
Depuis avril 2024, elle est pharmacien gérant adjoint du secteur logistique de la pharmacie.
Le Dr Xavier Mathieu, médecin spécialiste en Chirurgie Vasculaire et Thoracique, répond à quelques questions sur le sujet.
Cette année, à l'occasion de la journée mondiale contre le cancer du 04 février, le CHL met à l'honneur la chirurgie oncologique réalisée au sein de son CHL Kriibszentrum.
La chirurgie est une composante majeure du traitement de nombreux cancers.
De par l’expertise de son équipe de chirurgiens, de par son plateau technique de très haut niveau (Robot Da Vinci,…), et de par la prédominance de la recherche et de l’innovation, le CHL est aujourd’hui un acteur majeur de la chirurgie oncologique au niveau national et international.
Le principal but de la chirurgie comme traitement du cancer est d'enlever l'organe atteint, soit partiellement, soit entièrement, et ceci en fonction du stade de la tumeur. La chirurgie est le traitement le plus efficace lorsqu’elle permet de retirer complètement la tumeur. Pour certains type de cancer, la chirurgie permet également de traiter les métastases qui sont des localisations secondaires du cancer initial ou primitif. Les ganglions lymphatiques situés près de l'organe atteint sont prélevés et aident à définir le stade et le pronostic du cancer.
Dans le cadre d’un plan de traitement, on peut associer la chirurgie à d'autres traitements du cancer, comme la chimiothérapie, la radiothérapie et/ou l'immunothérapie. Ces traitements peuvent être employés avant la chirurgie afin de diminuer la taille de la tumeur et donc en faciliter le retrait chirurgical, ils sont alors appelés « néo-adjuvants ». On peut également y avoir recours après la chirurgie dans le but d'éliminer les cellules cancéreuses qui seraient encore présentes dans l'organisme après l'opération chirurgicale, ils sont alors appelés « adjuvants".
Au sein du CHL Kriibszentrum, les stratégies thérapeutiques sont discutées en Réunion de Concertation Pluridisciplinaire (RCP), ceci afin de garantir au patient un traitement reposant sur les dernières guidelines et connaissances scientifiques. Plusieurs RCP sont organisées selon les types de pathologies (RCP digestive, RCP tumeur cérébrale, RCP urologique...) en collaboration avec les médecins spécialistes de l'organe, oncologues, chirurgiens et radiothérapeutes.
Le patient qui est au cœur des préoccupations de l'équipe médico-soignante, est toujours considéré dans sa globalité, en tenant compte notamment de ses peurs, ses angoisses, ses liens familiaux et sociaux.