Docteur Souha Ben Alaya

Docteur Souha Ben Alaya

Le docteur Souha Ben Alaya est médecin specialiste en Psychiatrie.

Formation médicale de base :

  • Docteur en médecine de la faculté de médecine de Tunis

Spécialisations :

  • Spécialisation en psychiatrie (Tunisie/France)
  • Diplôme universitaire d’Addictologie (Faculté de Médecine de Tunis)
  • Diplôme universitaire de Psychiatrie de la Personne Âgée (Université Paris Descartes)
  • Formation spécialisée en Thérapies Cognitives et Comportementales (Cabinet Formacat, Strasbourg)

Intérêts particuliers :

  • Troubles de l’humeur
  • Troubles psychotiques
  • Troubles anxieux
  • Approche psychothérapeutique cognitivo-comportementale
  • Prise en charge psychiatrique adaptée aux personnes âgées 
  • Prise en charge des addictions 

Langues parlées :

  • Français
  • Anglais
  • Arabe

 

20375 Souha Ben Alaya
CHL - CHL Centre

Psychiatrie

Fax :
  +352 4411-6356
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 53

Tél : +352 4411-4553
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 50

Tél : +352 4411-2740
Docteur David Breuskin

Docteur David Breuskin

Le Docteur David Breuskin est médecin spécialiste en Neurochirurgie

Formation médicale de base :

  • 2003-2009 :  studies at medical school at University of Saarland
  • 2010-2016: specialization in neurosurgery at the neurosurgical department of the University Hospital Saarland, Homburg/Saar
  • 2016-2021: Specialist in Neurosurgery / consultant at the neurosurgical department of the University Hospital Saarland, Homburg/Saar

Spécialisations :

  • Specialization consists of surgical treatment of cerebral pathologies, such as brain tumours of the frontal, middle as well as posterior fossa, pituitary gland, pathologies of cerebro-spinal fluid passage (hydrocephalus), neurotraumatology, as well as degenerative and oncological pathologies of the spinal column.

Langues parlées :

  • Luxembourgish
  • German
  • French
  • English
20375 David Breuskin
CHL - CHL Centre

Neurochirurgie

Fax :
  +352 4411-6879
CHL Centre

Unité 55 - Neuro-Réanimation

Tél : +352 4411-4555
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 56

Tél : +352 4411-2742
Docteur Jean-Yves Wilputte

Docteur Jean-Yves Wilputte

Le Docteur Jean-Yves Wilputte est médecin spécialiste en gastro-entérologie.

Formation médicale de base:

  • Docteur en Médecin UCL 1997
  • Gastro-Entérologie UCL 2002

Spécialisations:

  • Echo-endoscopie CHR Liège et UCL 2003
  • Oncologie digestive UCL 2003

Intérêts particuliers

  • Gastro-entérologie générale
  • Echo-endoscopie
  • Hépatologie

 

Numéro de téléphone du secrétariat : +352 4411-2252 

20375 Jean-Yves Wilputte
CHL - CHL Centre

Gastro-Entérologie / Endoscopie Digestive

Fax :
  +352 4411-6881
CHL Centre

Unité d'hospitalisation 30

Tél : +352 4411-2734
CHL - CHL

Praxiszentren Steinfort

Fax :
 
La fenêtre de tolérance du soignant

La fenêtre de tolérance du soignant

Conférence présentée en visio-conférence le 14 octobre 2021, de 18h45 à 21h00, par le Dr Nicolas Desbiendras, Docteur en psychologie, Toulouse (France).

Programme: 

Prendre soin des autres implique de prendre soin de soi.

L'interaction entre le soignant et son patient amène parfois le soignant à sortir de sa fenêtre de tolérance. Comment le repérer? Que faire? Peut-on l'éviter?

Nous aborderons ces questions pour sensibiliser les soignants et mieux les préparer dans leur rôle professionnel.

Public cible:

Professionnel de la santé

Organisateurs:

a.s.b.l. EMDR Luxembourg / CHL

Dr L. LE SAINT

Inscription:

Inscription obligatoire par e-mail: contact@emdr-luxembourg.org

100.000 ème PCR-Covid19

100.000 ème PCR-Covid19

Dès le début de la pandémie, les équipes médico-soignantes du Laboratoire se sont pleinement investies pour que le CHL puisse disposer des dernières techniques et équipements de Biologie moléculaire requis pour la réalisation des PCR-Covid19.

Afin de disposer dans de meilleurs délais des résultats d’analyses et de détenir l’autonomie complète dans la réalisation des examens, le Laboratoire a revu son organisation et renforcé ses équipes. Ainsi, plusieurs techniciens sont venus rejoindre l'équipe de Biologie Moléculaire, en apportant, conjointement avec les biologistes, leur expertise et leurs compétences au service des patients et des cliniciens.

Aujourd'hui, cette analyse fondamentale est disponible à grande échelle sur des plages horaires élargies, sept jours par semaine, permettant aux équipes de terrain de prendre en charge et suivre les patients dans de meilleures conditions.

Cette organisation est aujourd'hui nécessaire pour un hôpital aigu comme le nôtre, hébergeant le Service National des Maladies infectieuses, mais aussi plusieurs services d'urgences et de soins intensifs et la salle d'opération, qui figurent parmi les plus gros demandeurs de cet examen.

La réalisation au CHL des examens répond aussi aux exigences sécuritaires liées à l'activité des plateaux techniques invasifs (frottis pré-interventionnels et préopératoires) et propose aux patients, mais aussi aux collaborateurs CHL, la possibilité de réaliser leurs prélèvements in situ et de disposer des résultats dans les meilleurs délais possibles (et même d'en être informés par SMS).

D'autre part, le Laboratoire réalise également cette analyse pour le compte d'autres institutions partenaires, comme le Rehazenter, le Centre de Colpach ou encore l'Hôpital de Steinfort

C'est donc avec une très grande fierté que nous arrivons aujourd'hui à une étape symbolique : la génération du 100.000ème résultat de PCR-Covid19 au CHL !

Faire progresser le traitement de la maladie de Parkinson

Faire progresser le traitement de la maladie de Parkinson

Un essai clinique visant à évaluer un nouveau mode d'administration de médicaments démarre au Luxembourg.

Le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) annoncent le lancement de « SCOL » (Study of Continuous Oral Levodopa), un essai clinique international visant à évaluer l'innocuité, la tolérance et l'efficacité du nouveau « DopaFuse System » pour l'administration orale continue de lévodopa pour une meilleure prise en charge des symptômes de la maladie de Parkinson. L'étude, menée simultanément en Italie, en Espagne et au Luxembourg, a le potentiel de révolutionner le traitement de cette maladie neurodégénérative courante en facilitant l'administration de médicaments et en réduisant les effets secondaires.
 

Le « DopaFuse System » de SynAgile pour l’administration de lévodopa.


La maladie de Parkinson est un trouble neurodégénératif progressif qui affecte principalement les neurones producteurs de dopamine (dopaminergiques), entraînant une baisse des niveaux de cette substance et l’apparition de symptômes tels que les tremblements, la raideur et des troubles de la motricité. Etant donné l’absence d’un traitement résolutif, pratiquement tous les patients atteints de la maladie de Parkinson sont soumis à un traitement symptomatique efficace de référence avec la lévodopa, ce qui rétablit les niveaux de dopamine, contrôlant ainsi certains des symptômes. Néanmoins, le traitement chronique par la lévodopa à travers des doses orales intermittentes est associé à des complications motrices à moyen terme, tandis que son administration intra-intestinale continue actuellement disponible − bien qu'entraînant une réduction des complications motrices − nécessite une chirurgie invasive avec de potentiels effets indésirables.

« Compte tenu des effets secondaires des modes d'administration de lévodopa actuels, une méthode alternative pour administrer ce médicament en continu et de manière non invasive tout en minimisant les effets secondaires moteurs reste un important besoin médical non satisfait pour les patients atteints de la maladie de Parkinson », déclare le Dr Berchem, Directeur Délégué à la recherche du CHL.

Dans ce contexte, SCOL vise à évaluer si le nouveau système « DopaFuse », développé par la société pharmaceutique SynAgile, peut réduire la fluctuation des taux de lévodopa dans le sang, par rapport à l'administration orale intermittente standard de lévodopa en comprimés. L'essai clinique évaluera également si le système est sûr, bien toléré et efficace pour soulager les symptômes moteurs.

Plus précisément, « DopaFuse » est un système intra-oral non invasif qui libère en continu une pâte de lévodopa à une vitesse contrôlée, et ceci directement dans l’arrière de la bouche du patient. Il se compose d'un dispositif de retenue dentaire, de son étui et d'un contenant de médicament à usage unique.

L'essai SCOL recrutera un total de 30 patients dans les 3 pays participants, dont un maximum de 10 seront inclus au Luxembourg. Les visites auront lieu au département de neurologie du CHL. L’étude sera menée avec le soutien de l’équipe « Transversal Translational Medicine » (TTM) du LIH et s'appuiera sur l'expertise en recherche clinique du Centre d'investigation clinique et épidémiologique (CIEC) du LIH. Les personnes âgées de plus de 30 ans avec un diagnostic confirmé de maladie de Parkinson et une bonne réponse à la lévodopa sont éligibles pour participer. La participation des patients à l’essai durera 29 jours.

Au début de l'étude, les participants seront hospitalisés au CHL pendant 3 jours pour recevoir une combinaison de comprimés de lévodopa standard par voie orale et d'un traitement par DopaFuse. Ils poursuivront ensuite la thérapie à leur domicile jusqu'au jour 14, avant d'être hospitalisés pour un autre jour pour des évaluations supplémentaires du traitement. Les évaluations de la sécurité et les suivis auront ensuite lieu à domicile jusqu'à la fin de l'essai. Des visites de suivi régulières au CHL sont prévues pendant toute la durée de l'étude, avec l'aide des équipes TTM et CIEC du LIH. Des données cliniques et des échantillons de sang seront également collectés dans le cadre de l'essai.

« L'étude SCOL est un autre exemple des efforts cliniques pionniers menés au Luxembourg. En effet, nous sommes l’un des trois premiers pays au monde à tester cette nouvelle méthode d’administration de la lévodopa, grâce à notre expertise de longue date dans la maladie de Parkinson, illustrée par des initiatives conjointes telles que le ‘National Centre of Excellence in Research on Parkinson’s Disease’. Nous sommes convaincus que notre approche hautement collaborative nous permettra de générer des données significatives et de contribuer à améliorer les résultats cliniques pour nos patients », conclut le professeur Rejko Krüger, investigateur principal auprès du site clinique du CHL au Luxembourg et directeur de TTM au LIH1.

1 Les affiliations supplémentaires du Prof Krüger sont comme suit: président et directeur de PEARL; Neuroscience clinique et expérimentale, Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB), Université du Luxembourg; Coordinateur National Center for Excellence in Research – Parkinson’s disease (NCER-PD), Parkinson Research Clinic, Centre Hospitalier de Luxembourg.  

Faire progresser le traitement de la maladie de Parkinson

Faire progresser le traitement de la maladie de Parkinson

Un essai clinique visant à évaluer un nouveau mode d'administration de médicaments démarre au Luxembourg.

Le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL) annoncent le lancement de « SCOL » (Study of Continuous Oral Levodopa), un essai clinique international visant à évaluer l'innocuité, la tolérance et l'efficacité du nouveau « DopaFuse System » pour l'administration orale continue de lévodopa pour une meilleure prise en charge des symptômes de la maladie de Parkinson. L'étude, menée simultanément en Italie, en Espagne et au Luxembourg, a le potentiel de révolutionner le traitement de cette maladie neurodégénérative courante en facilitant l'administration de médicaments et en réduisant les effets secondaires.
 

Le « DopaFuse System » de SynAgile pour l’administration de lévodopa.


La maladie de Parkinson est un trouble neurodégénératif progressif qui affecte principalement les neurones producteurs de dopamine (dopaminergiques), entraînant une baisse des niveaux de cette substance et l’apparition de symptômes tels que les tremblements, la raideur et des troubles de la motricité. Etant donné l’absence d’un traitement résolutif, pratiquement tous les patients atteints de la maladie de Parkinson sont soumis à un traitement symptomatique efficace de référence avec la lévodopa, ce qui rétablit les niveaux de dopamine, contrôlant ainsi certains des symptômes. Néanmoins, le traitement chronique par la lévodopa à travers des doses orales intermittentes est associé à des complications motrices à moyen terme, tandis que son administration intra-intestinale continue actuellement disponible − bien qu'entraînant une réduction des complications motrices − nécessite une chirurgie invasive avec de potentiels effets indésirables.

« Compte tenu des effets secondaires des modes d'administration de lévodopa actuels, une méthode alternative pour administrer ce médicament en continu et de manière non invasive tout en minimisant les effets secondaires moteurs reste un important besoin médical non satisfait pour les patients atteints de la maladie de Parkinson », déclare le Dr Berchem, Directeur Délégué à la recherche du CHL.

Dans ce contexte, SCOL vise à évaluer si le nouveau système « DopaFuse », développé par la société pharmaceutique SynAgile, peut réduire la fluctuation des taux de lévodopa dans le sang, par rapport à l'administration orale intermittente standard de lévodopa en comprimés. L'essai clinique évaluera également si le système est sûr, bien toléré et efficace pour soulager les symptômes moteurs.

Plus précisément, « DopaFuse » est un système intra-oral non invasif qui libère en continu une pâte de lévodopa à une vitesse contrôlée, et ceci directement dans l’arrière de la bouche du patient. Il se compose d'un dispositif de retenue dentaire, de son étui et d'un contenant de médicament à usage unique.

L'essai SCOL recrutera un total de 30 patients dans les 3 pays participants, dont un maximum de 10 seront inclus au Luxembourg. Les visites auront lieu au département de neurologie du CHL. L’étude sera menée avec le soutien de l’équipe « Transversal Translational Medicine » (TTM) du LIH et s'appuiera sur l'expertise en recherche clinique du Centre d'investigation clinique et épidémiologique (CIEC) du LIH. Les personnes âgées de plus de 30 ans avec un diagnostic confirmé de maladie de Parkinson et une bonne réponse à la lévodopa sont éligibles pour participer. La participation des patients à l’essai durera 29 jours.

Au début de l'étude, les participants seront hospitalisés au CHL pendant 3 jours pour recevoir une combinaison de comprimés de lévodopa standard par voie orale et d'un traitement par DopaFuse. Ils poursuivront ensuite la thérapie à leur domicile jusqu'au jour 14, avant d'être hospitalisés pour un autre jour pour des évaluations supplémentaires du traitement. Les évaluations de la sécurité et les suivis auront ensuite lieu à domicile jusqu'à la fin de l'essai. Des visites de suivi régulières au CHL sont prévues pendant toute la durée de l'étude, avec l'aide des équipes TTM et CIEC du LIH. Des données cliniques et des échantillons de sang seront également collectés dans le cadre de l'essai.

« L'étude SCOL est un autre exemple des efforts cliniques pionniers menés au Luxembourg. En effet, nous sommes l’un des trois premiers pays au monde à tester cette nouvelle méthode d’administration de la lévodopa, grâce à notre expertise de longue date dans la maladie de Parkinson, illustrée par des initiatives conjointes telles que le ‘National Centre of Excellence in Research on Parkinson’s Disease’. Nous sommes convaincus que notre approche hautement collaborative nous permettra de générer des données significatives et de contribuer à améliorer les résultats cliniques pour nos patients », conclut le professeur Rejko Krüger, investigateur principal auprès du site clinique du CHL au Luxembourg et directeur de TTM au LIH1.

1 Les affiliations supplémentaires du Prof Krüger sont comme suit: président et directeur de PEARL; Neuroscience clinique et expérimentale, Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB), Université du Luxembourg; Coordinateur National Center for Excellence in Research – Parkinson’s disease (NCER-PD), Parkinson Research Clinic, Centre Hospitalier de Luxembourg.  

Visite au CHL de Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé, à l’occasion de la campagne « Flash » de vaccination du CHL

Visite au CHL de Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé, à l’occasion de la campagne « Flash » de vaccination du CHL

Ce lundi 26 juillet, le CHL a organisé, en collaboration avec le Ministère de la Santé et la Direction de la santé, une campagne "flash" de vaccination Covid-19 destinée aux personnels hospitaliers et aux sous-traitants hospitaliers non vaccinés. Cette campagne flash qui s'est déroulée toute la semaine dans les différents hôpitaux a rencontré un grand succès au CHL.

A cette occasion, Mme Paulette Lenert, Ministre de la Santé a visité le Centre de Vaccination du CHL. Les différentes actions de sensibilisation à la vaccination menées au CHL lui ont été présentées. Mme Lenert a pu s'entretenir avec une ambassadrice de la vaccination et avec les personnes qui ont coordonné la campagne de vaccination au CHL depuis le début de l'année. Elle a remercié chaleureusement les équipes du CHL pour les efforts réalisés pour soutenir la stratégie nationale de vaccination des professionnels hospitaliers.

Les résultats de radiographies ou d’imageries médicales à portée de mains et de clics !

Les résultats de radiographies ou d’imageries médicales à portée de mains et de clics !

C’est la promesse de ce service coordonné par LUXITH(1), avec l’assistance de l’Agence eSanté et proposé par les 4 hôpitaux aigus de Luxembourg : le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL), le Centre Hospitalier du Nord (CHdN), le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM) et les Hôpitaux Robert Schuman (HRS).

En effet, dès le mois de juillet, tous les patients ayant un Dossier de Soins Partagés (DSP) pourront bénéficier de ce service centralisé et sécurisé.

Les avantages ?

  • Faciliter la prise en charge et le parcours patient puisque les données peuvent être partagées entre tous les Professionnels de Santé
  • Éviter la redondance des examens
  • Pouvoir télécharger les documents facilement sans s’encombrer des CD et DVD préalablement utilisés.
  • Un envoi rapide, voire instantané à la demande du patient

Dernier point, et non des moindres, le patient garde son droit à l’opposition à tout moment et peut refuser le partage de ses données.

Il n’y a définitivement plus aucune raison d’égarer ses comptes rendus et imageries médicales avec l’autorisation de partage via le DSP ! 

Plus d'informations ici, sur le site LUXITH.

1. LUXITH G.I.E : GIE créé par les hôpitaux pour les mutualisations informatiques

Les compétences du nouveau-né

Les compétences du nouveau-né

A partir de 4 mois :

  • Toucher

A partir de 5 mois :

  • Entendre

A partir de 6 mois

  • Voir

A partir de 7 mois

  • Goûter et de sentir

Nous vous invitons à regarder la vidéo : "L’évolution du foetus mois par mois".


Les compétences du nouveau-né

Le toucher: le bébé est toujours en contact: avec les parois de l’utérus, le placenta, le cordon, le liquide amniotique ou le frère/sœur si présent, c’est pourquoi le peau à  peau sera favorisé dès la naissance afin de mettre le nouveau-né dans un climat de sécurité.
Les infirmières de néonatologie ont tout à fait conscience de l’importance de ce toucher. C’est pour cela que l’on retrouve dans les couveuses des prématurés de petites pieuvres tricotées qui recréent le toucher du cordon ombilical dans l’environnement sensoriel et humide que l’enfant connait in utéro.

Le goût et l’odorat: le liquide amniotique est rempli de différentes saveur et des phéromones de la maman ainsi que de l’entourage proche, le peau à  peau va là encore permettre de retrouver une odeur connue qui le rassure et son sens olfactif va l’aider à trouver le sein spontanément dès la naissance
La peau du bébé est imprégnée des odeurs qu’il connait et le rassurent, il est donc important de ne pas les lui enlever tout de suite, c’est pour cela que le nouveau-né n’est pas baigné directement après sa naissance. Ces odeurs sont un repère qui  l’apaisent.
Si le bébé nécessite de passer par le service de Néonat, il sera proposé aux parents d’apporter un doudou , un foulard ou un vêtement imprégné de leurs odeurs. A son contact l’enfant sera rassuré.

L’ouïe: Dans le ventre, le brouhaha est incessant, gazouillis intestinaux, battement du cœur, bruits extérieurs déformés, contre le cœur de sa maman, il retrouve des repères connus, apaisants et sécurisants. Il est important de parler à son bébé en utilisant des phrases courtes et simples et ne pas hésiter à lui verbaliser les émotions que l’on ressent.

La vue: le bébé in-utéro gravite dans une douce pénombre, c’est pourquoi nous l’accueillerons dans une atmosphère tamisée. A nouveau, la présence du bébé sur sa mère va faciliter le premier échange de regard et la mise en place du processus d’attachement. Dès les premiers moments de vie, le bébé est capable de distinguer les formes en mouvement mais le tout est flou, la vue devient plus nette à une distance entre 18-30cm.

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