Réunion Mucoviscidose & Maladies associées présentée par le Dr De La Fuente Garcia, le Dr Charatsi et le Dr Allard de 8h15 à 9h15, salle de staff U40, (4e étage CHL Centre)

Réunion Mucoviscidose & Maladies associées présentée par le Dr De La Fuente Garcia, le Dr Charatsi et le Dr Allard de 8h15 à 9h15, salle de staff U40, (4e étage CHL Centre)
Réunion Mucoviscidose & Maladies associées présentée par le Dr De La Fuente Garcia, le Dr Charatsi et le Dr Allard de 8h15 à 9h15, salle de staff U40, (4e étage CHL Centre)
Réunion Mucoviscidose & Maladies associées présentée par Nathalie Cros et Françoise Schlesser, de 8h15 à 9h15, salle de staff U40, (4e étage CHL Centre)
Le service de soins intensifs - réanimation pédiatrique du CHL est un service national qui a pour mission d’accueillir, de surveiller et de prendre en charge des enfants de tout âge allant du nouveau-né jusqu’à l’adolescent avant 18 ans 24h/24 et 7j/7. Ces enfants nécessitent une surveillance particulière ou des soins adaptés à leur état clinique.
L’unité d’hospitalisation du service a une capacité d’accueil de 5 enfants répartis sur 4 chambres.
Le service de soins intensifs - réanimation pédiatrique prend en charge en moyenne 250 enfants par an au sein de son unité d’hospitalisation. La durée moyenne de séjour dans notre unité est de 4 jours.
Les enfants hospitalisés sont hospitalisés s pour des pathologies aigues diverses qui nécessitent soit une surveillance rapprochée soit des traitements intensifs tels que aide pour respirer , un soutien pour la cœur … (bronchiolite du nourrisson nécessitant une ventilation assisté, pneumonies invasives, syndrome hémolytique et urémique…). Une partie des enfants est également adressée pour la prise en charge postopératoire de différentes chirurgies programmées (scolio.se, gastrostomie) ou non-programmées (hémorragie intra crânienne, traumatismes divers..).
Les enfants peuvent arriver dans le service directement depuis leur domicile via la SAMU , être hospitalisé depuis les urgences ou les services d’hospitalisation classique ou venir du bloc opératoire après une intervention chirurgicale.
Le service de soins intensifs - réanimation pédiatrique assure également le diagnostic, la prise en charge initiale et le transfert de patients ayant des pathologies lourdes nécessitant une prise en charge dans un centre spécialisé (malformations cardiaques …)
Le service de soins intensifs - réanimation pédiatrique du CHL est composé d’une équipe pluridisciplinaire afin d’assurer une prise en charge 24h/24h des enfants et de leur famille.
Le service de soins intensifs - réanimation pédiatrique est un lieu de haute technicité. Les enfants sont entourés de nombreuses machines.
Les paramètres de leur cœur et de leur respiration sont surveillés en continu au moyen de divers monitorings. Une partie des enfants nécessitent une aide pour respirer pouvant aller des simples lunettes à oxygène jusqu’à la ventilation invasive par tube en passant par des moyens d’aide non-invasifs par exemple par un masque sur le nez. Des perfuseurs permettent d’administrer les médicaments par voie intra-veineuse.
Chez des enfants n’étant pas en mesure de s’alimenter de façon autonome, l’alimentation peut être assurée soit par une sonde qui va directement dans l’estomac soit par voie intra-veineuse.
Des examens sont régulièrement réalisés lors de leur séjour en soins intensifs - réanimation pédiatrique pour adapter leur prise en charge et prévenir les complications :
Dans cet environnement particulier et afin d’assurer aux enfants un confort et un vécu respectueux de leur développement, l’environnement sonore et lumineux est adapté, le rythme veille-sommeil est respecté si possible et la gestion optimale de la douleur et de l’inconfort est un souci constant des équipes. Cette prise en charge a comme but de minimiser le stress et l’inconfort chez les patients et leur famille.
Une hospitalisation d’un enfant est toujours source de stress et d’anxiété, c’est encore plus vrai dans un milieu de soins intensifs - réanimation.
Votre présence en tant que parents est toujours bénéfique pour votre enfant et votre participation à ses soins est essentielle, autant pour vous que pour votre enfant. Nous considérons votre compétence de parents comme irremplaçable. N’hésitez vraiment pas à rester le plus souvent et le plus longtemps près de lui, lui parler, le toucher. Il a besoin de vous.
On offre ainsi la possibilité aux parents de rester 24h/24 près de leur enfant. Pour rendre votre temps de visite le plus confortable possible, nous mettons à votre disposition des fauteuils dans les chambres, des lits d’appoint, une salle de bain, un lieu de vie …
Pour que le séjour à l’hôpital se déroule au mieux pour l’enfant comme pour ses parents et pour améliorer son devenir, la prise en charge à la KannerKlinik est multidisciplinaire. A côté de l’équipe médico-soignante du service (composée de médecins réanimateurs pédiatriques, d’infirmiers et d’infirmiers pédiatriques), interviennent :
Par ailleurs, une collaboration étroite avec les pédiatres spécialisés (néphrologie, endocrinologie, hématologie, cardiopédiatrie …), avec les chirurgiens, anesthésistes et radiologues pédiatriques, avec les biologistes du laboratoire, avec les ORL et ophtalmologues… permet de diagnostiquer et de soigner au mieux nos patients.
Quand cela est nécessaire le service prend contact avec des centres universitaires à l’étranger (hôpital Saint-Luc à Bruxelles, Hôpital Necker à Paris, … ) pour des avis spécialisés et y transfère les enfants quand cela est nécessaire.
Vous pouvez contacter le secrétariat du service de néonatologie au 44 11 31 47, l’unité d’hospitalisation au 44 11 67 67.
Le service est situé au 1er étage de la clinique pédiatrique , 2 Rue Ernest Barblé à Luxembourg.
Les visites sont limitées au sein du service de de soins intensifs - réanimation pédiatrique, afin de protéger les enfants des risques infectieux et de les maintenir dans un milieu calme. Les parents ont toujours la possibilité de rester près de leur enfant, pour les autres visiteurs potentiels merci de vous renseigner auprès de l’équipe pour connaitre les règles en vigueur.
Une convention de collaboration vient d’être signée entre le LNS (Laboratoire National de Santé) et le CHL dans le domaine des analyses de laboratoire. Elle vise un renforcement et un développement des compétences dans le domaine des analyses spécialisées réalisées par ces laboratoires respectifs.
Dorénavant, les deux établissements publics s’engagent à procéder à une répartition des différentes analyses de biologie médicale, en fonction de leurs domaines de compétences respectifs, permettant ainsi d'éviter des redondances et d'assurer la meilleure qualité de ces analyses et une rationalisation des coûts.
Les synergies concernent cinq domaines d’activité, à savoir : l’activité de biochimie-immuno-pathologie, l’activité d’hématologie, l’activité de microbiologie / sérologie et biologie moléculaire, l’activité d’allergologie/immunogénétique et l’activité de biosécurité.
Enfin, le LNS devient l’interlocuteur unique en matière de génétique, préfigurant ainsi le rôle du futur Centre National de Génétique Humaine.
Prof. Friedrich Mühlschlegel, nouveau Directeur du LNS, à propos de cette collaboration: « ce partenariat est en parfait accord avec les principes définis dans notre plan stratégique 2016-2018. Celui-ci stipule clairement la volonté d’une plus grande coopération entre notre laboratoire national et les laboratoires des centres hospitaliers, ceci en mettant en commun les activités tout en utilisant les points forts de l’autre ».
Le Dr Romain Nati, Directeur général du CHL: « Grâce à cette nouvelle synergie, le CHL souhaite promouvoir dans le domaine des analyses biologiques la mutualisation des moyens et des compétences spécifiques du secteur public dans un but de renforcer l’efficience, la qualité et la rationalisation des coûts ».
Une convention de collaboration vient d’être signée entre le LNS (Laboratoire National de Santé) et le CHL dans le domaine des analyses de laboratoire. Elle vise un renforcement et un développement des compétences dans le domaine des analyses spécialisées réalisées par ces laboratoires respectifs.
Dorénavant, les deux établissements publics s’engagent à procéder à une répartition des différentes analyses de biologie médicale, en fonction de leurs domaines de compétences respectifs, permettant ainsi d'éviter des redondances et d'assurer la meilleure qualité de ces analyses et une rationalisation des coûts.
Les synergies concernent cinq domaines d’activité, à savoir : l’activité de biochimie-immuno-pathologie, l’activité d’hématologie, l’activité de microbiologie / sérologie et biologie moléculaire, l’activité d’allergologie/immunogénétique et l’activité de biosécurité.
Enfin, le LNS devient l’interlocuteur unique en matière de génétique, préfigurant ainsi le rôle du futur Centre National de Génétique Humaine.
Prof. Friedrich Mühlschlegel, nouveau Directeur du LNS, à propos de cette collaboration: « ce partenariat est en parfait accord avec les principes définis dans notre plan stratégique 2016-2018. Celui-ci stipule clairement la volonté d’une plus grande coopération entre notre laboratoire national et les laboratoires des centres hospitaliers, ceci en mettant en commun les activités tout en utilisant les points forts de l’autre ».
Le Dr Romain Nati, Directeur général du CHL: « Grâce à cette nouvelle synergie, le CHL souhaite promouvoir dans le domaine des analyses biologiques la mutualisation des moyens et des compétences spécifiques du secteur public dans un but de renforcer l’efficience, la qualité et la rationalisation des coûts ».
Les Rotary Clubs du Luxembourg soutiennent depuis des années la recherche sur le cerveau avec beaucoup de succès. En vue d’encourager davantage la recherche biomédicale, les clubs rotariens du Luxembourg, en collaboration avec leurs amis rotariens de Briey et Salernes, ainsi que la fondation Rotary située aux États-Unis, qui fête son centenaire cette année-ci, ont lancé le projet « Hope 4 Parkinson ». Grâce à ce projet, les chercheurs et médecins présents à l’événement ont reçu un nouvel instrument d’une valeur de 75.000 EUR, dans un cadre festif au CHL. Il s’agit d’un instrument tomographie de cohérence optique, encore appelé instrument OCT, qui génère des images tridimensionnels en haute définition de tissus biologiques.
Prof. Dr Nico Diederich, neurologue au CHL et chercheur partenaire au Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB) à l’Université du Luxembourg, explique : « Cet instrument est utilisé normalement afin de regarder profondément dans l’œil humain. Cependant, l’instrument OCT, donné par le Rotary Club, sera utilisé pour la première fois dans un tout autre domaine, notamment le domaine de la recherche neurologique. Nous souhaitons investiguer si et comment l’analyse OCT peut faciliter la diagnose des maladies neurodégénératives.*
Le focus de notre projet de recherche est l’analyse détaillée de la rétine : des études précédentes ont suggéré qu’en cas d’une maladie neurodégénérative, comme la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer ou une sclérose en plaques, la rétine semble être plus fine que normalement. Ainsi, nous pouvons comparer l’œil comme une "fenêtre avec vue sur le cerveau". En collaboration avec des chercheurs du LCSB, Prof. Dr. Diederich souhaite analyser cette hypothèses et autres, pour ainsi trouver de nouveaux indices, encore appelés biomarqueurs, en relation avec des maladies neurodégénératives. Les chercheurs et médecins espèrent que ces biomarqueurs, ensemble avec d’autres tests visuels et coginitifs peuvent servir à améliorer les diagnostiques des maladies dégénératives dans un futur proche.
Parmi les invités, il y avait la ministre de la santé Lydia Mutsch, qui est aussi membre du Rotary, le directeur du CHL Dr Romain Nati, l’ancien gouverneur du district D1630 Norbert Friob, Prof. Dr. Nico Diederich et le directeur du LCSB Prof. Dr. Rudi Balling. À cette occasion, les invités ont eu la possibilité de visiter et participer à une première démonstration de l’OCT.
Enfin, Prof. Dr. Diederich remercie les Rotary Clubs : « Nous tenons à remiercier les Rotary Clubs et la Fondation Rotary chaleureusement pour leur don généreux et pour leur soutien de la recherche. Ceci nous permet d’établir de nouvelles technologies au Luxembourg pour le bien des patients. »
Les Rotary Clubs du Luxembourg soutiennent depuis des années la recherche sur le cerveau avec beaucoup de succès. En vue d’encourager davantage la recherche biomédicale, les clubs rotariens du Luxembourg, en collaboration avec leurs amis rotariens de Briey et Salernes, ainsi que la fondation Rotary située aux États-Unis, qui fête son centenaire cette année-ci, ont lancé le projet « Hope 4 Parkinson ». Grâce à ce projet, les chercheurs et médecins présents à l’événement ont reçu un nouvel instrument d’une valeur de 75.000 EUR, dans un cadre festif au CHL. Il s’agit d’un instrument tomographie de cohérence optique, encore appelé instrument OCT, qui génère des images tridimensionnels en haute définition de tissus biologiques.
Prof. Dr Nico Diederich, neurologue au CHL et chercheur partenaire au Luxembourg Centre for Systems Biomedicine (LCSB) à l’Université du Luxembourg, explique : « Cet instrument est utilisé normalement afin de regarder profondément dans l’œil humain. Cependant, l’instrument OCT, donné par le Rotary Club, sera utilisé pour la première fois dans un tout autre domaine, notamment le domaine de la recherche neurologique. Nous souhaitons investiguer si et comment l’analyse OCT peut faciliter la diagnose des maladies neurodégénératives.*
Le focus de notre projet de recherche est l’analyse détaillée de la rétine : des études précédentes ont suggéré qu’en cas d’une maladie neurodégénérative, comme la maladie de Parkinson, la maladie d’Alzheimer ou une sclérose en plaques, la rétine semble être plus fine que normalement. Ainsi, nous pouvons comparer l’œil comme une "fenêtre avec vue sur le cerveau". En collaboration avec des chercheurs du LCSB, Prof. Dr. Diederich souhaite analyser cette hypothèses et autres, pour ainsi trouver de nouveaux indices, encore appelés biomarqueurs, en relation avec des maladies neurodégénératives. Les chercheurs et médecins espèrent que ces biomarqueurs, ensemble avec d’autres tests visuels et coginitifs peuvent servir à améliorer les diagnostiques des maladies dégénératives dans un futur proche.
Parmi les invités, il y avait la ministre de la santé Lydia Mutsch, qui est aussi membre du Rotary, le directeur du CHL Dr Romain Nati, l’ancien gouverneur du district D1630 Norbert Friob, Prof. Dr. Nico Diederich et le directeur du LCSB Prof. Dr. Rudi Balling. À cette occasion, les invités ont eu la possibilité de visiter et participer à une première démonstration de l’OCT.
Enfin, Prof. Dr. Diederich remercie les Rotary Clubs : « Nous tenons à remiercier les Rotary Clubs et la Fondation Rotary chaleureusement pour leur don généreux et pour leur soutien de la recherche. Ceci nous permet d’établir de nouvelles technologies au Luxembourg pour le bien des patients. »
Le CHL est le seul établissement hospitalier à Luxembourg pouvant prendre en charge les pathologies rachidiennes et médullaires chez l’enfant et en particulier la chirurgie des scolioses quel qu’en soit l’étiologie. Ces interventions nécessitent la compétence des chirurgiens des services nationaux de chirurgie infantile et neurochirurgie.
Lors de ces interventions, on introduit des vis au niveau des pédicules des vertèbres en s’aidant pour leur positionnement de repères anatomiques et de son sens tactile. Ces repères peuvent être perturbés dans des déformations telles que les scolioses sévères et l’imagerie peropératoire 2D de type fluoroscopies’avèretrop imprécise. Or selon la littérature, jusqu’à 30% des vis pédiculaires ne sont pas en position optimale. Dans la plupart des cas, cela n’a pas de conséquences pour le patient mais des lésions du cordon médullaire, de l’œsophage ou de l’aorte sont possibles. Lors de doute, il faut alors transporter le patient endormi au scanner ou en cas de découverte tardive le réopérer avec tous les risques et inconvénients que cela comporte.
L’O-arm® permet d’effectuer des images 3D de l’intérieur du corps du patient durant l’intervention, afin de guider le geste du chirurgien. Pour ce faire, l’O-arm® entoure le patient et la table d’opération pour faire un scan en 3 dimensions. Une fois les clichés à 360° réalisés, les capteurs infrarouges disposés sur les instruments du chirurgien, couplés à un système de navigation chirurgicale, offrent un aperçu instantané du positionnement des instruments par rapport aux images anatomiques. Grâce à ce système de navigation, le chirurgien peut suivre la position de ses instruments, calculer et simuler leur trajectoire optimale.D’autre part, il permet également le placement percutané mini-invasif des implants.
L’O-arm® permet donc d’accroître la qualité du geste chirurgical et la sécurité du patient.
Le Dr Jerry Kieffer (au centre), médecin spécialiste en chirurgie pédiatrique et son équipe.
Le 25 avril à l'Hôtel Ibis Styles Meeting Center, Boulevard de Lauzelle 61, 1348 Louvain-la-Neuve.
Hôpital collaborateur : Centre Hospitalier de Luxembourg
8h00 : Accueil et inscriptions
Inscriptions de préférence avant le 10 avril en ligne via www.bwgcvn.be
55 €