Engagé dans une démarche d’amélioration continue, le service de dialyse du CHL vient d’être recertifié ISO-9001.
Après une première certification en 2013 et en tant que premier service de dialyse au Luxembourg, le service de dialyse du CHL vient d’être recertifié une nouvelle fois selon la norme ISO 9001-2015 par la Société Nationale de Certification et d’Homologation (SNCH) pour le champ d’application «planification, réalisation, encodage et archivage des séances de dialyse».
Limitée au service de dialyse conventionnelle, cette nouvelle certification a été étendue au service « limited care », service accueillant des patients autonomes dans la prise en charge de leur séance de dialyse (montage du circuit de dialyse, surveillance de la tension artérielle et des paramètres de la machine).
Le Dr Linda Cherchali-Benchalel, médecin chef du service de néphrologie au CHL souligne: « La démarche de certification a été initiée par l’équipe pluridisciplinaire du service de dialyse dans un souci d’optimisation continue de la prise en charge du patient grâce à une systématisation, une structuration et une uniformisation des processus de travail ».
Elle continue : « l’équipe a été à un tel point convaincue de l’impact positif de cette démarche sur la qualité de notre travail au quotidien, que nous avons voulu élargir le champ de la certification à notre service du Limited Care ».
La certification ISO permet d’impliquer et de fédérer toute une équipe pluridisciplinaire (équipes médico-soignantes et fonctions support, dont les services qualité, biomédicale, pharmacie, technique, le département Ressources Humaines, l’Unité de Prévention de l’Infection etc.) dans une démarche commune autour d'un objectif partagé : la recherche de l'amélioration continue et de la satisfaction du client.
A ce jour, les services du CHL suivants sont certifiés ISO 9001: - Le Centre National PET (depuis 2009) - Le service de dialyse (depuis 2013) - Le service de sénologie (depuis 2014) - Le service de stérilisation (depuis 2015)
Par ailleurs, en mars 2019, les laboratoires ont également obtenu leur accréditation selon la norme ISO 15189-2012.
Le CHL entend maintenir, dans les prochaines années, cette politique de certification et d’accréditation selon les normes ISO.
Le docteur Lara Heinz est médecin coopérant en Médecine du sport
Medizinische Grundausbildung :
2001 – 2008: Studium der Humanmedizin an der Rheinischen, Friederich – Wilhelm Universität Bonn
Facharztweiterbildung:
2008 - 2011: St. Franziskus Kreiskrankenhaus Saarburg
2011 - 2017: Krankenhaus der Barmherzigen Brüder Trier
2011: Promotion mit dem Titel „T-Wellen Variabilität detektiert Abnormalitäten der ventrikulären Repolarisation: Vergleich gesunder Probanden mit Olympischen Athleten“ an der Rheinischen. Friederich – Wilhelm Universität Bonn
Fachgebiet :
2015: Facharzt für Orthopädie und Unfallchirurgie
2018: Weiterbildung in Sonographie der Bewegungsorgane (DEGUM-Zertifikat)
seit 2018 in Weiterbildung Sportmedizin bei der DGSP
seit 2018 Teamärztin der luxemburgischen Fussball- Nationalmannschaft, sowie verantwortliche Orthopädin der Fussballschule
Mitglied der Dt. Gesellschaft für muskuloskeletale Medizin (DGMM), der Dt. Gesellschaft für Sportmedizin (DGSP), der Société Luxembourgeoise de Médecine du Sport, sowie der Gesellschaft für Orthropädie und Traumatologie im Sport
La Direction du CHL a reçu l’Association Blëtz a.s.b.l. dans un contexte de collaboration avec le service de Neurologie et sa Stroke Unit de niveau 2.
Cette association « patient » s’engage pour une prise en charge efficiente et performante des patients atteints d’un Accident Vasculaire Cérébral (AVC).
La rapidité de l’accès au diagnostic et aux traitements médicaux pointus, ainsi que le suivi du patient à long terme, y inclus les mesures de rééducation et de prévention secondaire, sont au cœur de leur action qui se base sur le Stroke Action Plan for Europe établi par SAFE (Stroke Alliance for Europe) et ESO (European Stroke Organisation). Le CHL, avec ses services nationaux, Stroke Unit niveau 2 et Neurochirurgie, ainsi que ses services de Neuroradiologie interventionnelle et Chirurgie Vasculaire, aspire aux mêmes buts : tout mettre en œuvre pour que les personnes atteintes d’un accident vasculaire cérébral aient le moins de séquelles possibles. Dans un cadre de prise en charge globale et multidisciplinaire la mobilisation et rééducation précoce, sont assurées par le personnel soignant spécialisé.
la construction d’un centre de jour qui permettrait une continuité de prise en charge adaptée aux victimes d’un AVC une fois la rééducation spécialisée terminé
aider à promouvoir la recherche scientifique dans le domaine de l’AVC au Luxembourg
Le CHL vous donne rendez-vous dans son hall d’entrée le 29 octobre 2019, Journée Mondiale de l’AVC, avec des stands de l’Association Blëtz a.s.b.l. et des consultations sur les possibilités de détection du risque cardio-vasculaire assurée par les neurologues du CHL ensemble avec les services de cardiologie, de pneumologie et de diabétologie.
Le Dr Zacharias Vourexakis est médecin spécialiste en ORL et Chirurgie cervico-faciale, formé en Suisse, en France et en Australie.
Il s’intéresse particulièrement à la chirurgie cervico-faciale (cancers ORL et tumeurs bénignes de la tête et du cou) et la chirurgie fonctionnelle du nez et des sinus.
Il a commencé à travailler au CHL en juillet 2019 en tant que chirurgien-ORL à temps plein.
Diplômes d’études universitaires :
2002 : Diplôme de Médecine,
Faculté de Médecine, Université d’Athènes (Grèce).
2012 : Diplôme d’Université en ‘Carcinologie cervico-faciale’,
Faculté de Médecine, Université Paris XI (France).
2013 : Doctorat,
Faculté de Médecine, Université de Genève (Suisse).
Formation post graduée (spécialisation et sus-spécialisation) :
2005 – 2010 :
Interne (médecin en voie de spécialisation) en
ORL & Chirurgie cervico-faciale (Suisse).
Titre suisse ‘FMH’ de spécialiste en ORL, en 2010.
2011 – 2012 :
En formation en chirurgie oncologique cervico-faciale,
Département de Carcinologie Cervico-faciale,
Institut Gustave Roussy, Villejuif / Paris (France).
2012 – 2014 :
Chef de Clinique (Unité de chirurgie cervico-faciale),
Service d’ORL et de Chirurgie cervico-faciale,
Hôpitaux Universitaires de Genève (Suisse).
2014 – 2015 :
Chef de Clinique (Unité de Rhinologie),
Service d’ORL et de Chirurgie cervico-faciale,
Hôpitaux Universitaires de Genève (Suisse).
2015 – 2016 :
Clinical fellow in Head and Neck Surgery,
Department of ENT, Head, Neck & Skull base Surgery,
SCG Hospital – QE II Medical Center, Perth (Australie).
Carrière hospitalière :
2016 – 2018 :
Praticien Hospitalier contractuel,
Service universitaire d’ORL et de Chirurgie cervico-faciale,
Hospices Civils de Lyon – Hôpital de la Croix Rousse, Lyon (France).
2018 – 2019 :
Praticien Hospitalier contractuel,
Service universitaire d’ORL et de Chirurgie cervico-faciale,
CHI de Créteil & CHU Henri Mondor, Paris (France).
2019 –
Chirurgien ORL & Cervico-facial temps-plein,
Service d’ORL et de Chirurgie cervico-faciale,
Centre Hospitalier de Luxembourg.
Activité clinique et intérêts particuliers :
Consultations ORL (adultes, enfants),
Chirurgie des cancers ORL (cavité buccale, pharynx, larynx, cou, …) et des tumeurs bénignes de la région cervico faciale (parotide, thyroïde, ...),
Endoscopies des VADS et chirurgie endoscopique du larynx,
Chirurgie fonctionnelle du nez et des sinus,
ORL pédiatrique (amygdales, végétations, aérateurs trans tympaniques),
Chaque année, le 28 juillet, se tient la Journée mondiale contre l'hépatite, coordonnée par la World Hepatitis Alliance. À travers le thème principal « Trouver les millions manquants, avez-vous été dépistés ?», cette journée vise à sensibiliser la population aux risques des hépatites virales, à la prévention des infections et la lutte contre cette maladie.
En effet, au niveau mondial, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime que 230 millions de personnes vivent avec une hépatite B sans le savoir et 58 millions vivent avec une hépatite C et l’ignorent.
L’hépatite C est considérée comme l’infection la plus dangereuse. On estime que 0,7% des résidents au Luxembourg sont touchés.
L’hépatite B et C sont des infections transmissibles causées par les virus de l’hépatite B (VHB) et VHC (hépatite C). L’hépatite B se transmet par relations sexuelles non protégées, par contact avec du sang infecté, de la mère à l’enfant et dans certains cas par la salive. L’hépatite C se transmet par le sang et la plupart des infections se font suite à un contact plaie ouverte et faibles quantités de sang.
L'hépatite C est caractérisée par une inflammation du foie. Le VHC peut causer une hépatite aiguë ou chronique. Ainsi, la maladie peut se manifester par des symptômes bénins qui durent quelques semaines, mais également devenir plus sévère et chronique. Si elle n'est pas diagnostiquée suffisamment tôt et traitée de façon adéquate, elle risque d’évoluer en cirrhose chronique ou en cancer du foie. Il existe un vaccin contre les hépatites A et B, mais pas encore contre l'hépatite C.
Comme les hépatites évoluent souvent à bas bruit, le ministère de la Santé rappelle l’importance de la prévention et du dépistage. Dépister tôt, permet de traiter tôt!
Action de sensibilisation ciblée
À l’occasion de la Journée mondiale contre l’hépatite et afin de cibler au mieux la population la plus vulnérable à l’hépatite C, à savoir les usagers de drogues, une action de sensibilisation aura lieu à la salle de consommation supervisée de drogues « Abrigado » avec le soutien de la direction et du personnel de la structure psycho-médico-sociale. Des membres du personnel du LIH, du CHL et du service HIV Berodung de la Croix-Rouge luxembourgeoise seront présents pour informer et sensibiliser les usagers de drogues sur les situations à risque de transmission de l’hépatite C, ainsi que pour offrir un test de dépistage rapide de l’hépatite C grâce à la présence du DIMPS (Mobile HIV Testing)).
Au cours des dernières années, le pays a déployé des efforts considérables pour réduire les cas de maladie au sein de cette population. Dans ce cadre, une étude pilote a été conduite avec des usagers de drogue sur plusieurs sites. Cette étude, qui sera poursuivie et étendue, a été sélectionnée en tant qu’exemple de bonne pratique en Europe pour le dépistage et la prise en charge de l’hépatite C.
Dépistage et prise en charge de l'hépatite C chez les usagers de drogues au Luxembourg : un modèle de bonne pratique en Europe
L'Observatoire Européen des Drogues et des Toxicomanies (OEDT), qui publie régulièrement des rapports sur les maladies infectieuses en Europe liées à la consommation de drogues, a sélectionné des approches novatrices de différents pays afin de les présenter comme des modèles de bonne pratique. Ce sont des projets permettant d’améliorer le dépistage du VHC et les soins chez les usagers de drogues.
Parmi ceux-ci figure le projet luxembourgeois HCV-UD, développé conjointement par la Infectious Diseases Research Unit du Department of Infection and Immunity du LIH et le Service national des maladies infectieuses du CHL. Le projet consiste à rapprocher le dépistage et le traitement du VHC des clients des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques afin de diminuer la prévalence et la transmission du VHC et d'améliorer le suivi du traitement.
L'étude pilote d'intervention a été menée de 2015 à 2018 dans trois centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et dans la salle de consommation de drogues surveillée Abrigado. Sur les 368 usagers de drogue qui ont participé dans l’étude, 48 ont reçu un traitement antiviral à action directe. Au total, 55 ont été suivis pour leur infection au VHC. « L'étude démontre la faisabilité et l'acceptabilité des tests de dépistage du VHC mis en place dans les centres d’accueil et d’accompagnement de réduction des risques chez les usagers de drogue, y compris le dépistage proactif de cette population », explique le Dr Carole Devaux, responsable de la Infectious Diseases Research Unit au LIH et présidente du Comité de surveillance du SIDA, des hépatites infectieuses et des maladies sexuellement transmissibles.
Fort de son succès, le projet a été étendu aux organisations de prise en charge des sans-abri, aux cabinets médicaux prescrivant des traitements de substitution et à une deuxième salle de consommation supervisée de drogues à Esch-sur-Alzette « Contact Esch » qui sera officiellement inaugurée le 25 juillet 2019.
Formuler des recommandations
L'étude pilote a été très utile dans le contexte national. « Les résultats de notre étude rentreront également dans le nouveau plan d’action drogues 2020-2025 », déclare le Dr Devaux. Sous la direction de l'OEDT et de son point focal luxembourgeois à la Direction de la santé, une table ronde a été organisée en janvier 2019 avec 21 acteurs clés afin de dégager un consensus sur les principales barrières au dépistage du VHC et à l'accès aux soins des personnes injectant des drogues. La table ronde a rassemblé, entre autres, des experts de différents organismes de traitement, de la salle de consommation de drogue et du Service national des maladies infectieuses. Un rapport résultant de la table ronde est actuellement en préparation, indiquant les solutions principales et les recommandations pour le dépistage du VHC et l'accès au traitement. Le rapport sera diffusé auprès des parties prenantes tant au niveau système (politique) qu’au niveau prestataire (professionnels du terrain).
Communiqué par le ministère de la Santé, la HIV Berodung de la Croix-Rouge luxembourgeoise, le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL)
Chaque année, le 28 juillet, se tient la Journée mondiale contre l'hépatite, coordonnée par la World Hepatitis Alliance. À travers le thème principal « Trouver les millions manquants, avez-vous été dépistés ?», cette journée vise à sensibiliser la population aux risques des hépatites virales, à la prévention des infections et la lutte contre cette maladie.
En effet, au niveau mondial, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) estime que 230 millions de personnes vivent avec une hépatite B sans le savoir et 58 millions vivent avec une hépatite C et l’ignorent.
L’hépatite C est considérée comme l’infection la plus dangereuse. On estime que 0,7% des résidents au Luxembourg sont touchés.
L’hépatite B et C sont des infections transmissibles causées par les virus de l’hépatite B (VHB) et VHC (hépatite C). L’hépatite B se transmet par relations sexuelles non protégées, par contact avec du sang infecté, de la mère à l’enfant et dans certains cas par la salive. L’hépatite C se transmet par le sang et la plupart des infections se font suite à un contact plaie ouverte et faibles quantités de sang.
L'hépatite C est caractérisée par une inflammation du foie. Le VHC peut causer une hépatite aiguë ou chronique. Ainsi, la maladie peut se manifester par des symptômes bénins qui durent quelques semaines, mais également devenir plus sévère et chronique. Si elle n'est pas diagnostiquée suffisamment tôt et traitée de façon adéquate, elle risque d’évoluer en cirrhose chronique ou en cancer du foie. Il existe un vaccin contre les hépatites A et B, mais pas encore contre l'hépatite C.
Comme les hépatites évoluent souvent à bas bruit, le ministère de la Santé rappelle l’importance de la prévention et du dépistage. Dépister tôt, permet de traiter tôt!
Action de sensibilisation ciblée
À l’occasion de la Journée mondiale contre l’hépatite et afin de cibler au mieux la population la plus vulnérable à l’hépatite C, à savoir les usagers de drogues, une action de sensibilisation aura lieu à la salle de consommation supervisée de drogues « Abrigado » avec le soutien de la direction et du personnel de la structure psycho-médico-sociale. Des membres du personnel du LIH, du CHL et du service HIV Berodung de la Croix-Rouge luxembourgeoise seront présents pour informer et sensibiliser les usagers de drogues sur les situations à risque de transmission de l’hépatite C, ainsi que pour offrir un test de dépistage rapide de l’hépatite C grâce à la présence du DIMPS (Mobile HIV Testing)).
Au cours des dernières années, le pays a déployé des efforts considérables pour réduire les cas de maladie au sein de cette population. Dans ce cadre, une étude pilote a été conduite avec des usagers de drogue sur plusieurs sites. Cette étude, qui sera poursuivie et étendue, a été sélectionnée en tant qu’exemple de bonne pratique en Europe pour le dépistage et la prise en charge de l’hépatite C.
Dépistage et prise en charge de l'hépatite C chez les usagers de drogues au Luxembourg : un modèle de bonne pratique en Europe
L'Observatoire Européen des Drogues et des Toxicomanies (OEDT), qui publie régulièrement des rapports sur les maladies infectieuses en Europe liées à la consommation de drogues, a sélectionné des approches novatrices de différents pays afin de les présenter comme des modèles de bonne pratique. Ce sont des projets permettant d’améliorer le dépistage du VHC et les soins chez les usagers de drogues.
Parmi ceux-ci figure le projet luxembourgeois HCV-UD, développé conjointement par la Infectious Diseases Research Unit du Department of Infection and Immunity du LIH et le Service national des maladies infectieuses du CHL. Le projet consiste à rapprocher le dépistage et le traitement du VHC des clients des centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques afin de diminuer la prévalence et la transmission du VHC et d'améliorer le suivi du traitement.
L'étude pilote d'intervention a été menée de 2015 à 2018 dans trois centres d’accueil et d’accompagnement à la réduction des risques et dans la salle de consommation de drogues surveillée Abrigado. Sur les 368 usagers de drogue qui ont participé dans l’étude, 48 ont reçu un traitement antiviral à action directe. Au total, 55 ont été suivis pour leur infection au VHC. « L'étude démontre la faisabilité et l'acceptabilité des tests de dépistage du VHC mis en place dans les centres d’accueil et d’accompagnement de réduction des risques chez les usagers de drogue, y compris le dépistage proactif de cette population », explique le Dr Carole Devaux, responsable de la Infectious Diseases Research Unit au LIH et présidente du Comité de surveillance du SIDA, des hépatites infectieuses et des maladies sexuellement transmissibles.
Fort de son succès, le projet a été étendu aux organisations de prise en charge des sans-abri, aux cabinets médicaux prescrivant des traitements de substitution et à une deuxième salle de consommation supervisée de drogues à Esch-sur-Alzette « Contact Esch » qui sera officiellement inaugurée le 25 juillet 2019.
Formuler des recommandations
L'étude pilote a été très utile dans le contexte national. « Les résultats de notre étude rentreront également dans le nouveau plan d’action drogues 2020-2025 », déclare le Dr Devaux. Sous la direction de l'OEDT et de son point focal luxembourgeois à la Direction de la santé, une table ronde a été organisée en janvier 2019 avec 21 acteurs clés afin de dégager un consensus sur les principales barrières au dépistage du VHC et à l'accès aux soins des personnes injectant des drogues. La table ronde a rassemblé, entre autres, des experts de différents organismes de traitement, de la salle de consommation de drogue et du Service national des maladies infectieuses. Un rapport résultant de la table ronde est actuellement en préparation, indiquant les solutions principales et les recommandations pour le dépistage du VHC et l'accès au traitement. Le rapport sera diffusé auprès des parties prenantes tant au niveau système (politique) qu’au niveau prestataire (professionnels du terrain).
Communiqué par le ministère de la Santé, la HIV Berodung de la Croix-Rouge luxembourgeoise, le Luxembourg Institute of Health (LIH) et le Centre Hospitalier de Luxembourg (CHL)